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Nathaniel Bassey est né au Nigeria dans la ville de Lagos, au Nigeria. Il est originaire de l’etat d’Akwa Ibom, au Sud du pays. Son père, M. E Joshua Bassey, était responsable dans l’Église Assemblée Bashua apostolique. Nathaniel Bassey, dès son jeune âge, a développé un amour pour la musique et l’Évangile du Christ. Son amour de la musique s’est accrue quand il découvert lors d’un concert le Dr Panam Percy Paul, une icône de la musique gospel. Dans ses premières années, il développa un intérêt plutôt inhabituel pour le jazz.

Il rejoint ensuite un quartet de jazz à Lagos, Spectrum 4, où il a joué aux côtés de ses amis d’enfance. C’est dans cette atmosphère que l’un des personnages les plus respectables du jazz et de la musique nigériane, Nat Rath, a approché Nathaniel pour diriger l’un des premiers orchestres de jazz du pays, le STEVE RHODES ORCHESTRA. Il a été chef de groupe et trompettiste principal pendant deux ans, avant de poursuivre sa carrière musicale. Sa clairvoyance musicale, son ingéniosité et son style hors de commun lui ont valu des collaborations avec les meilleurs artistes du Nigeria et du monde.

Au fur et à mesure que le temps passait, Nathaniel a décidé de s’engager et à rechercher le Seigneur sous le mentorat et les conseils du pasteur Eskor Mfon. Cette décision a suscité de vives critiques de la part d’amis, d’artistes et de collègues qui pensaient qu’il était impensable d’abandonner ce qui devenait une carrière musicale en plein essor pour servir exclusivement dans une église locale. En développant une communion intime avec le christ, il décide de se consacrer au gospel.

Nathaniel, diplômé en politique et en relations internationales à l’Université de Londres, est également directeur musicale. Son premier album de Nathaniel, Elohim, a été enregistré et mixé à Cape Town, en Afrique du Sud, en 2008. Il a été décrit comme un chef-d’œuvre spirituel et artistique avec la chanson à succès «Someone to knock to the door». Les albums « the god is Too Good » ou « the son of god » ont contribué à son assise dans le gotha du gospel. Son titre « Imela » reste l’une des plus belles réussites musicales chrétiennes de ses dernières années.

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